<tt> 1 (1- 1)</tt> : Pilote (Flying Misfits) 120 minutes
<tt> 2 (1- 2)</tt> : Un avion pour deux (Best Three Out of Five)
<tt> 3 (1- 3)</tt> : La Petite Guerre (Small War)
<tt> 4 (1- 4)</tt> : Le Réprouvé (High Jinx)
<tt> 5 (1- 5)</tt> : Le Prisonnier (Prisoners of War)
<tt> 6 (1- 6)</tt> : Porté disparu (Presumed Dead)
<tt> 7 (1- 7)</tt> : Drôle de cirque (The Meatball Circus)
<tt> 8 (1- 8)</tt> : Stratagème (Up for Grabs)
<tt> 9 (1- 9)</tt> : Candidat au suicide (Anyone for Suicide?)
<tt> 10 (1-10)</tt> : Le Commando (New Georgia On My Mind)
<tt> 11 (1-11)</tt> : Opération radar (The Cat's Whiskers)
<tt> 12 (1-12)</tt> : Triangle infernal (Love and War)
<tt> 13 (1-13)</tt> : Hollywood s'en va-t-en guerre (The War Biz Warrior)
<tt> 14 (1-14)</tt> : Objectif Rabaul [1/2] (The Deadliest Enemy of All [1/2])
<tt> 15 (1-15)</tt> : Objectif Rabaul [2/2] (The Deadliest Enemy of All [2/2])
<tt> 16 (1-16)</tt> : Le Couteau dans la plaie (Devil in the Slot)
<tt> 17 (1-17)</tt> : Cinq pour un as (Five the Hard Way)
<tt> 18 (1-18)</tt> : Dernière Mission à Sengai (The Last Mission Over Sengai)
<tt> 19 (1-19)</tt> : Le Massacre de Fort Apache (Trouble at Fort Apache)
<tt> 20 (1-20)</tt> : Les Orphelins (Poor Little Lambs)
<tt> 21 (1-21)</tt> : Ces dames s'en vont-en guerre (W*A*S*P*S)
<tt> 22 (1-22)</tt> : Hutch (Last One for Hutch)
<tt> 23 (1-23)</tt> : Le Duel (The Fastest Gun)
<tt> 24 (2- 1)</tt> : La Prière de l'Irlandais (Divine Wind)
<tt> 25 (2- 2)</tt> : Promotion (The 200 Pound Gorilla)
<tt> 26 (2- 3)</tt> : Alerte au faucon (The Hawk Flies on Sunday)
<tt> 27 (2- 4)</tt> : Les Loups dans la bergerie (Wolves in the Sheep Pen)
<tt> 28 (2- 5)</tt> : L'Examen (Operation Stand-Down)
<tt> 29 (2- 6)</tt> : Organisation (Ten'll Get You Five)
<tt> 30 (2- 7)</tt> : Le Fruit défendu (Forbidden Fruit)
<tt> 31 (2- 8)</tt> : Les Anges combattants (Fighting Angels)
<tt> 32 (2- 9)</tt> : L'Invulnérable (The Iceman)
<tt> 33 (2-10)</tt> : Un spectacle de génie (Hotshot)
<tt> 34 (2-11)</tt> : Les Grosses Têtes brûlées (The Show Must Go On... Sometimes)
<tt> 35 (2-12)</tt> : Prisonnier de sa gloire (Sheep in the Limelight)
<tt> 36 (2-13)</tt> : Secours en mer (A Little Bit of England)
L'HOMME DE VIENNE<!-- #EndEditable --> |
<!-- #BeginEditable "equipe" --> Une série produite par Eric Bercovici et Jerry Ludwig. avec robert conrade. Crédits photographiques : Metro Goldwyn Mayer Television. Soruces consultées : "TV Detectives" par Richard Meyers (1981), "Fifty Years of Television" par Vincent Terrace (1987), "Télé-feuilletons" de Jean-Jacques Jelot-Blanc (1989), "30 ans de feuilletons et de séries à la télévision" de Jean-Jacques Jelot-Blanc (1984) et imdb.com. Un dossier conçu par Christophe Dordain. <!-- #EndEditable --> |
Au Jake's Bar, dans une rue branchée de la capitale viennoise, dans une atmosphère située entre "Casablanca" et "Le Troisième Homme", Jake Webster déjoue les intrigues derrière son comptoir. En fait, ce bar est une façade pour un agent secret travaillant pour le compte du gouvernement américain à un moment, où, nous sommes en pleine détente entre Américains et Soviétiques. Souvent obligé, contre son gré, de suivre les instructions de son supérieur direct, le major Bernard Caldwell, il se heurte régulièrement au chef de la police de Vienne : Hoffmann. A travers cette courte série, seulement huit épisodes, Robert Conrad retrouvait un rôle d'agent secret dont il assurait une nouvelle fois une savoureuse composition tout en ne négligeant pas les atouts de ce type de programme : jolies filles en détresse, poursuites en voitures et de nombreuses bagarres. Retour sur une série peu rediffusée depuis mais qui a marqué les téléspectateurs français dans les années 1970. La rédaction du Quotidien du Cinéma. <!-- #EndEditable --> |
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ANALYSE DE LA SERIE SLOANE
Les personnages
La série "Sloane, agent spécial" est, à l'origine, un produit caractéristique de la fin des années 1970. Le concept de la série s'est adapté à l'ambiance "James Bondienne" de l'époque au point de constituer un cas unique dans les annales de la télévision américaine à un moment, où, les héros type "Hunter" ou "Matt Helm", des agents ou espions aux modes d'intervention discrets, bien plus que ceux de l'agent 007, dominaient le marché. Le personnage central de la série est donc un espion bien éloigné des classiques agents secrets : pas d'ombre d'idéalisme en lui; il ne passe pas son temps à raser les murailles ou à se terrer. Pas davantage de haine pour ses adversaires : ce ne sont pas des ennemis personnels mais des obstacles à franchir. Quant à ses amours, elles ne sont ni fugitives, ni éternelles. De toutes les façons, les femmes passent leur temps à virevolter autour de lui et Sloane les considère comme des objets de luxe qui méritent qu'on en prenne soin. Enfin, Sloane ne porte pas de gabardine, mais préfère les costumes de bonne coupe avec d'incroyables chemises dont les cols sont autant de reflets de la mode des années 1970.
L'agent Sloane est également un homme épris de tous les raffinements de l'existence, il roule dans une superbe voiture, dont le moins que l'on puisse dire est qu'elle n'est pas très discrète. Sloane ne discute jamais de politique, car ce qu'il défend est clair pour tout le monde et ne s'est jamais démenti tout au long des 12 épisodes : les États-Unis. Sloane est également un surhomme; il en a les qualités physiques. Néanmoins, il bénéficie du concours des gadgets que lui fournit Kelly dans le premier acte de chaque épisode : montre pouvant enregistrer les conversations, bague équipée d'un rayon laser, etc. Autant d'éléments dont le spectateur sait qu'ils lui sauveront la mise le moment voulu.
Dans le cadre de ses missions, Sloane est secondé par Torque, un géant de deux mètres, initialement ennemi de Sloane dans le pilote et tué à la fin de ce dernier. Dans la série hebdomadaire, Torque est devenu son équipier. Il est muni d'une main métallique faisant office de poste émetteur ou permettant d'ouvrir les portes, c'est selon. Au début de chaque mission, Sloane rencontre le directeur de cette agence secrète appellée UNIT dont les murs sont discrètement installés dans un magasin basé à Los Angeles et répondant au nom de "The Toy Boutique". Enfin, il peut s'appuyer sur le concours de EFFIE, un ordinateurs ultra-sophistiqué, dont la voix féminine (bien sûr) lui procure les données nécessaire au bon accomplissement de sa mission.
Les méchants
Les ennemis de Thomas Remington Sloane se confondent dans un même groupe : la catégorie des fous classiques, des génies du mal visant à dominer le monde. Ainsi, dans cette série, il n'apparaît pas de dimension politique telle qu'on l'apercevait dans les James Bond des années 1960 notamment. Ici donc, pas de communistes soviétiques ou chinois. Tous ont un grand point commun : ils mettent en œuvre un projet apocalyptique qui doit servir les intérêts de l'organisation tapie dans l'ombre pour le compte de laquelle il travaillent le plus souvent : KARTEL. Ainsi, Manfred Baranoff dans "La potion magique" veut-il créer une race de surhommes, Jonathan Cambro dans "L'ultimatum" conçoit-il un puissant virus capable d'annihiler le monde entier, Lady Bud contrôle-t-elle des insectes génétiquement modifiées pouvant détruire des récoltes et tuer des humains dans "Les Sauterelles", et ainsi que suite... A ce titre, on peut observer que le méchant peut être aussi une femme.
Les ennemis de Sloane ont en outre quelques perversions à leur actif : Baranoff a tout du dément à l'ego surdimensionné; Lady Bug vit entourée d'un kyrielle de gardes "bodybuildés" qui agrémentent sa vie privée; quant à Morgan Lancaster, dans l'épisode "Dans le triangle maudit", il s'affiche tout simplement comme étant le descendant de l'illustre pirate, rien que cela !
Les femmes
Les femmes jouent un rôle essentiel dans les épisodes. Elles incarnent à merveille l'inconstance et sont de purs objets de plaisir pour ceux qui ont su les conquérir en les comblant. Et voila pourquoi le beau sexe est souvent la source de trahisons dans cette série, puisque toutes finissent par abandonner l'être aimé du moment pour se donner à Sloane. Dans bien des cas, les méchants de service ont demandé que leur environnement féminin séduise Sloane, afin de le faire tomber dans le piège qu'ils lui préparent. Cependant, le charme déployé par l'agent secret américain parvient à les faire changer de bord.
La galerie des actrices présente dans la série est particulièrement significative du moment où elle fut tournée, en l'occurrence de juin à octobre 1979. Jo-Ann Harris, Laura Johnson, Morgan Fairchild et Pat Klous, pour ne citer qu'elles, incarnent à leur façon l'éternel féminin tel que l'on concevait à la télévision américaine à cette époque. Sloane change de femme à chaque aventure : la bataille a lieu entre le Bien et le Mal et les femmes n'y sont que des intermédiaires plus ou moins fidèles, plus ou moins voluptueux.
Les mécanismes narratifs
Les épisodes de la série "Sloane, agent spécial" sont essentiellement basés sur une trame identique contenant toujours les mêmes éléments :
Le générique : Conçu par Dan Perri, celui-ci doit beaucoup au travail fourni par Maurice Binder dans les James Bond. Toutefois, nous sommes à la télévision américaine donc pas d'images de femmes pratiquement nues, tournées à la manière d'un vidéo-clip. Simplement, des morceaux de corps de beautés sculpturales permettent de présenter le nom des différents comédiens. L'ensemble étant pulsé par un thème musical signé Patrick Williams.
La séquence d'ouverture : Elle se passe le plus souvent dans un pays étranger et permet d'avoir une première idée de la menace qui va peser sur le monde et qui légitime l'intervention conjointe de Sloane et de Torque. La séquence d'ouverture est d'une durée moyenne de 4 à 5 minutes qui culmine généralement avec une séquence de poursuite et/ou de bagarre. Cette séquence est donc liée à l'aventure principale que Sloane entreprendra suite à son classique entretien avec le Directeur de l'Agence dont il dépend.
La mission : L'épisode à proprement parler débute généralement avec un événement dramatique, exécuté parfois par le vilain lui-même, qui amènera une situation de crise auprès des autorités internationales. Ensuite Sloane rencontre son supérieur tout en échangeant quelques paroles avec Kelly et, le plus souvent, en lui empruntant un gadget qui sera salvateur par la suite. En ce qui concerne la rencontre avec le méchant, elle intervient très tôt dans chaque épisode, parfois avant la fin du premier acte qui dure en moyenne 11 minutes sur les 48 que compte chaque aventure. Cette rencontre a lieu dans un contexte social luxueux, hôtels de prestige, villas fastueuses, etc...
Les séquences d'action : D'abord, pas d'action en dehors d'un cadre, dicté par le scénario, qui ne soit résolument exotique, c'est à dire qui sorte le spectateur, plutôt homme-moyen, de son style de vie et de ses moyens d'existence : il faut à ce héros des hôtels de grand luxe à proximité d'une plage pour millionnaires ou bien la plus prestigieuse des stations de ski, ce qui est le cas dans le pilote. Quant à la façon de les agencer, les producteurs et réalisateurs de la série ont pu compter sur les capacités physiques bien au-dessus de la moyenne de Robert Conrad. Toutefois, une limite s'imposait à lui, le souvenir de l'accident survenu le 23 janvier 1968 sur le tournage d'un épisode des "Mystères de l'Ouest", drame qui aurait pu lui coûter la vie. Aussi, un œil attentif peut-il observer que le comédien se fait doubler par Steve Kelso pour les scènes vraiment les plus dangereuses. Cela étant, Conrad a apporté aux scènes d'affrontement avec ses différents adversaires son goût pour le karaté et les bagarres correctement chorégraphiées. Il se permet également dans un épisode de prendre la poudre d'escampette accroché à un hélicoptère, histoire de montrer qu'il a toujours de beaux restes. Qui en douterait ?
Terminons en constatant que, si chaque épisode est construit autour de 4 actes d'une durée moyenne de 11 minutes, pour une fois, dans un production Quinn Martin, les titres : Acte I, Acte II, etc..., qui sont autant de marques de fabrique des séries qu'il a produites, n'apparaissent pas dans "Sloane".
Et Robert Conrad ? Qu'en est-il au début de cette année 1979 ? Il vient d'achever le téléfilm "Les Mystères de l'Ouest" reprenant le personnage qu'il avait du abandonner dix plus tôt et est sollicité par la production de "Sloane" comme le prouve ces photos d'essai où il arbore une moustache, héritage du téléfilm de Burt Kennedy. Cependant, la datation de ces photos étant sujette à caution, certaines rumeurs affirment qu'elles remontent à la fin de l'année 1978, avant le tournage du téléfilm "Les Mystères de l'Ouest". Alors, Conrad était-il le premier choix des producteurs de "Sloane" ? A-t-il demandé un cachet exhorbitant qui aurait rebuté les producteurs et la chaîne? Robert Logan fut-il donc engager ensuite? Et enfin, face au désatreux pilote, les producteurs ont-ils fini par accéder à la demande de Conrad, en l'occurrence un million de dollars pour être Thomas Remington Sloane, le cachet le plus important jamais versé à un comédien de télévision à l'époque, surtout que le téléfilm "Les Mystères de l'Ouest", diffusé le 05 mai 1979 sur CBS, enregistre un gros succès d'audience? Les producteurs ont-il saisi alors l'opportunité de surfer sur ce succès en proposant à Conrad un rôle à l'image de ce qui fît sa gloire dix ans plus tôt ? Autant d'interrogations sans réponse mais nous ne devons pas être loin de la vérité, n'est ce pas ? Dans cette perspective, vous pourrez observer que le titre du premier épisode de "Sloane" s'intitule "Night of The Wizard", même s'il fut diffusé en 3è position en octobre 1979, ce qui n'est pas sans rappeler les titres des épisodes de "Wild, Wild West". Troublant, non ?
Toujours est-il que Conrad accepte de participer à cette nouvelle série bénéficiant de moyens substantiels. Cela étant, ni son charisme, ni sa classe naturelle, ni un générique dans le style de ceux conçus par Maurice Binder pour les James Bond s'avérèrent suffisants pour permettre à "Sloane" d'éviter l'annulation à mi-saison. 12 épisodes furent diffusés entre septembre et décembre 1979. Quant au pilote maudit, il sera finalement programmé en mars 1981. L'art d'accomoder les restes...
Alfred Hitchcock présente (Alfred Hitchcock Presents) est une série télévisée américaine en 268 épisodes de 26 minutes, en noir et blanc, créée par Alfred Hitchcock et diffusée entre le 2 octobre 1955 et le 26 juin 1962 sur le réseau CBS (d'octobre 1955 à septembre 1960) puis sur le réseau NBC (de septembre 1960 à juin 1962). En France, la série a été diffuséee à partir du 12 juillet 1959 sur la première chaîne de l'ORTF.
Immortalisée par la silhouette d'Alfred Hitchcock apparaissant sur l'écran au son de La Marche funèbre pour une marionnette de Charles Gounod, cette série est en fait une anthologie de petites histoires noires, à la chute souvent inattendue.
Au début de chaque épisode et avant d'en faire la présentation, toujours teintée d'humour noir, Alfred Hitchcock saluait les téléspectateurs d'un sévère « Bonsoir ». Il revenait en épilogue pour exposer sa morale de l'histoire.
De nombreux réalisateurs ont participé à cette série, notamment Robert Altman, Sydney Pollack, Robert Stevenson, Ida Lupino, Don Taylor, Arthur Hiller... et Alfred Hitchcock qui en réalisa lui-même 18.
De nombreux acteurs ont figuré au casting de la série, parmi lesquels :
Zorro, une série d'une demi-heure des productions TV de Walt Disney basée sur le caractère bien connu
</a /> de Zorro, présenté en première octobre 10, 1957 sur le ABC. L'émission finale de réseau était septembre 24, 1959. Soixante-dix-huit épisodes ont été produits, et 4 heure-longs specials ont été aérés sur la série d'anthologie de Walt Disney entre octobre 30, 1960 et avril 2, 1961.</p>L'exposition était très populaire, particulièrement avec des enfants, et sa chanson de thème (écrite par Norman Foster et George Bruns et d'abord enregistrée par le Mellomen) était un enregistrement de coup pour le Chordettes, faisant une pointe à #17 sur le défilé de coup. Elle a également créé une épidémie d'"Z" graffitiing sur des bureaux d'école à travers les Etats-Unis.<sup>[ 1 ]</sup> La série a fini après deux saisons dues à un conflit financier entre Disney et le réseau, mais la concession a continué pendant quelques années sous forme de nouvelles aventures occasionnelles de Zorro aérées en couleurs sur la série de télévision d'anthologie de Disney, nouvellement transplantée au NBC en tant qu'élément de la même chose contestez, et le monde merveilleux de Walt Disney retitré de couleur.les caractères principaux
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